Comme l'été, la lettre d'info en retard...

Bonjour à toutes et tous.

Une lettre d'info biiiiiien en retard, mais tout à fait au regard du retard saisonnier… Mais ne désespérons pas, ne dit-on pas qu'après la pluie vient le beau temps… chaque jour…

Je parlerais bien de la pluie et du beau temps avec vous, de météo climatique ou du climat du pays…

Enfin, allez, faisons-le après les infos des dates à venir…

Alors pour ce qui est de ce qui sera, voici le calendrier :

Samedi 29 juin

Rencontres autour du livre

Des vies Orageuses, ed. Le monde à l'envers

(détails)

10h00-12h00 devant la librairie

18h : apéro discussion

En juillet :
 

Vendredi 12 juillet 18h00

Samedi 13 juillet 10h-12h

Rencontres avec Marvic

autour du livre Pente Raide, éd. Ici Bas

(détails)

Fin Juillet :

(dates et heures à préciser)

Rencontre avec Wendy Delorme

Autour du livre Le Chant de la Rivière, éd. Cambourakis

(détails)

En Août :
 

Mens, Zut, Flûte!

Le off du off de Mens Alors!

Du 5 au 10 Août

Programme détaillé à venir mais :

• Rencontres avec Bérengère Cournut (Autrice aux éditions Le Tripode, entre autres…) qu'on est vraiment heureuses de recevoir ! Vu qu'on aime beaucoup ce que vous faites !

• La disparition du Sol (conférence musicale et scientifique) – Etienne Dambrine, directeur de recherche INRAE-USMB / Olivier Masson, musicien

• Est-ce que la terre s'est tue ? Escapades théâtrale en paysage animiste; création inspirée par les recherches de David Abram (ethnologue spécialisé dans les cultures animistes). – Les outils sauvages / Pierre Tallaron

• À l'abordage, conférence gesticulée – Alexandra Bouchard (détails)

• Benjamin Flao (L'âge d'eau, kililana Song, La vie Secrète des Arbres en BD…) sera par là et on bien trouver des trucs à faire ensemble.

• Rencontre, discussion et apéro avec Françoise Carraud, et des viticultrices du coin (si elles ne sont pas dans les vignes…) pour le livre Viticultrices, (détails) aux éditions Dire le Travail.

• ET peut-être une nocturne, mais c'est pas sûr… le programme est déjà bien chargé…

  d'ailleurs, pour celles et ceux qui se demandent, qui aimeraient savoir, qui voudrait que revienne La Cantine de Minuit, soyez patient·es, elle reviendra (sûrement) en 2026…

Ouf !

Et bien voilà le programme…

On se retrouve ici ou là et bientôt!

Prenez soin, mangez votre casquette si vous n'êtes pas/plus inscrite sur les listes électorales et sinon, vous savez ce qui vous reste à faire.

Raphaël, Léa (en vacances), Lucy…

ET pour clore, une citation que notre adelphe de la librairie La rumeur des crêtes m'a envoyée, suite à des discussions à propos de la tribune signée par presque 200 librairies indépendantes, à lire ici :

Contrecarrer les imaginaires d’extrême droite : l'Appel des librairies indépendantes

La citation :

« Mais quand j'entends ou lis « antifascisme » dans certaines bouches, dans certains textes, alors résonne ce très cher Pasolini, notamment lorsqu'il s'adresse à Calvino dans l'un de ses Écrits corsaires :

« Enfin, cher Calvino, je voudrais te faire noter une chose. Pas en moraliste, en analyste. Dans ta réponse empressée à mes thèses (Il Messagero, 18 juin 1974), une phrase doublement malheureuse t'a échappé, c'est celle-ci : 

« Les jeunes fascistes d'aujourd'hui, je ne les connais pas, et j'espère ne jamais les connaître. »

Mais, 1) C'est vrai que tu n'en auras jamais l'occasion, car même si tu devais en rencontrer dans le compartiment d'un train, dans la queue d'un magasin, dans la rue ou dans un salon, tu ne le reconnaitrais pas ; 2) Se souhaiter de ne jamais rencontrer de jeunes fascistes, c'est une énormité ! Nous devrions, au contraire, tout faire pour les repérer et les rencontrer. Ils ne sont pas les représentants fatals et prédestinés du Mal : ils ne sont pas nés pour être fascistes. Quand ils sont devenus des adolescents capables de choisir, d'après qui sait quelles raisons et quelles nécessités, personne ne leur a gravé dans le dos de façon raciste la marque des fascistes.

C'est une forme atroce de désespoir et de névrose qui pousse un jeune à un tel choix ; et peut-être une seule petite expérience différente dans sa vie, une simple rencontre, aurait-elle suffi pour que son destin fût autre. » (le 8 juillet 1974) »

Retour